Delphine de Vigan qu'on ne présente plus, (chacun se souvient des Heures souterraines et Rien ne s'oppose à la nuit), nous livre un roman d'une habileté diabolique, qui nous tient en haleine de la première à la dernière ligne.
Elle soumet en même temps à la réflexion du lecteur des questions majeures : le rapport entre le réel et la littérature, de même que celui qui unit (voire oppose) la réalité et la vérité.
"Ce pourrait être un projet littéraire, écrire un livre entier qui se donnerait à lire comme une histoire vraie, un livre soi-disant inspiré de faits réels mais dont tout, ou presque, serait inventé".
Véronique B.
Août 2015