Un romancier peu inspiré vient se réfugier dans une minuscule cabane, dans un village isolé, au bord de la mer, pour achever un roman qui décidément n’avance pas. Eliasson écrit tel un peintre par petites touches, touches qui sont autant d’états d’âmes d’un artiste qui se frotte aux vertiges de la solitude et des questionnements relatifs à la création littéraire. Un livre au ton apparemment léger, mais profond et poétique à la fois et qui ne manque pas d’un certain et désabusé humour.
Grégory
Traduit de l'islandais par Catherine Eyjolfsson. Paru en septembre 2020.